l'exercice du pouvoir est-il sexué?

Publié le par nicolas funel

ce sujet conduisait à s'interroger non directement sur la place des femmes en politique, mais bien sur l'exercice du pouvoir, sa pratique, dans le cadre des démocraties modernes.
en effet, et bien que la question de la place des femmes aux postes de pouvoir, pas seulement politique, soit centrale, l'interrogation première portait sur l'exercice du pouvoir, sur la pertinence même de la question posée.
dès lors, en constatant que l'exercice du pouvoir quasi exclusivement masculin depuis plusieurs siècles a conduit à confondre les caractéristique de l'exercice du pouvoir avec les représentations masculines, on pouvait s'attacher à savoir si cet exercice par l'un ou l'autre sexe serait différent.
plusieurs questions pouvaient servir de base à la problématique:
l'exercice du pouvoir est-il variable en fonction du sexe? Le sexe est-il un critère plus déterminant que les compétences propres, la personnalité ou les opinions? N'y a t il pas une force d'indécence à se poser cette question dans le cadre d'un régime démocratique prônant l'égalité de tous?
Autrement dit, fondamentalement, s'interroger sur le fait de savoir si l'exercice du pouvoir est sexué n'est-ce pas habiller une question légitime - quelles sont les caractérisitiques de l'exercice du pouvoir - d'une arrière pensée nourrie parfaitement misogyne?

I- l'héritage d'un pouvoir exercé par les hommes et conçu par eux, contraint encore très largement les conditions d'accès des femmes au pouvoir
A- l'héritage d'un pouvoir masculin
B- qui containt encore largement les sociétés modernes

II- Mais cet héritage est contesté, dans ses manifestations et ses fondements dans le cadrede la recherche, parfois sans raison d'une égalité accrue
A- un héritage fortement contesté
B- mais au risque d'un égalitarisme parfois dangereux

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